Rapport de bataille Nains Skavens

Salut à tous, amateurs de bons jeux,

Voici un rapport d'affrontement entre mes vils skavens et les nains férus de balistique de Mehdi ! La bataille s'est déroulé à l'excellent club Championnet à Paris


Un peu plus loin, toujours aux abords du château de Tancred, une force de Nains interceptent une horde de skavens. En nain-feriorité numérique, ces derniers se regroupent autour de la Sainte enclume du destin, ramenée par le vénérable seigneur des runes pour contrecarrer la magie malsaine du verminarque. Le flanc droit est complètement abandonné, les rangers étant postés pour ralentir la progression des coureurs d'égouts et de leur assassin.
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Les Nains expriment un sentiment de dégoût et de peur en distinguant une horrible abomination s'approchant de leurs lignes. L'artillerie concentre donc ses forces sur le monstre qui, après avoir subi l'impact d'un boulet de canon et d'un trait de balistes, succombe dans un gargouillis immonde... Les Nains exultent, et la panique monte dans les rangs des guerriers des clans à proximité qui se ravisent finalement de détaler en voyant le regard menaçant du verminarque à proximité.
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Pour se venger, celui-ci s'accapare les vents de magie pour projeter un éclair impie sur les rangers, n'en laissant qu'un vivant, le survivant s'enfuyant horrifié... La voie est libre pour les coureurs d'égouts qui se rapprochent à grande enjambées de l'artillerie naine.
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Au centre, une bande de tueurs en quête d'une mort violente qui se dirigeait à grande vitesse vers l'abomination émet un grognement de frustration en voyant cette dernière abattue par l'artillerie. Mais les yeux des déments s'illuminent de nouveau en voyant émerger de l'arrière de la colline une bande de rats tout aussi déments poussant un énorme creuset. C'est donc avec une vigueur renouvelée que les tueurs se jettent à corps perdu dans les vapeurs pestillentielles ne laissant qu'un pauvre point de vie à la machine.
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Un grand nombre de tueurs rencontrent leur destin, les vapeurs toxiques combinées à la déferlante de coups des rats frénétiques et la contre-charge des encenseurs à peste auront raison de l'intégralité du régiment, ce qui ne rassurent pas l'arrière-garde naine qui voit une première machine de guerre périr sous les coups des furtifs coureurs d'égouts. Furtifs, mais apparemment protégés par le rat cornu : le canon a flammes braqué sur eux le tour précédent ayant eu un dysfonctionnement malheureux. Un rayon de soleil dans le déroulé de la bataille, le canon abat d'un coup précis la catapulte de la peste, qui n'avait eu l'occasion de ne délivrer qu'un tir, sans effet. Le Verminarque poursuit son œuvre maléfique et malgré son expérience, le seigneur des runes ne parvient à contrecarrer les pouvoirs maléfiques du démon. C'est ainsi que ce dernier, se disant qu'il aurait été osé de traverser le champ de bataille à découvert, se téléporte sans vergogne directement sur la colline naine, au nez et à la barbe de ces derniers. Voir un démon à tête de rat de 3m de haut poppait juste devant soi, ça n'est pas quelque chose de mentalement surmontable même pour un nain. Les équipages de la Baliste et de la catapulte perdent donc leurs moyens et n'ont plus la lucidité d'utiliser leurs machines. Le ciel se lézarde d'éclairs alors que la bannière d'orage des guerriers des clans est activée, rendant impossible les tirs du canon et de la Baliste. Le verminarque extermine alors d'un nouveau sort l'équipage de la baliste.
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Devant cette apparition démoniaque, les vénérables Longues-barbes, qui en ont vu d'autres, gardent leur sang-froid et chargent avec puissance le Verminarque goguenard, trop occupé a faire le mariole. C'est ainsi que, sous le poids du nombre et devant l'inflexibilité des nains, une faille spatio-temporelle s'ouvre, engloutissant dans le Warp l'être démoniaque.
Mais c'est dans un éclat de rire que le verminarque retourne dans les désolation du chaos. En effet, son plan était accompli : sa diversion avait désorganisé les lignes naines et mis au silence l'artillerie. Le creuset de la peste et les frères déments avaient ainsi pu atteindre le front nain sans plus de dommage. Et là, ni la solidité des armures naines ni leur courage ne purent faire quoi que ce soit devant le déferlement d'attaques emprisonnés. Les trois régiments de nains furent ainsi balayés un par un, ne laissant qu'à la fin de la bataille que l'enclume du destin et une catapulte.

Victoire totale des skavens !